Millésimée, non ! Mais les fêtes 2025 de notre commune resteront parmi les bonnes années et dans la pure tradition. Retour sur Sarraziet en fête...

Vendredi 5 septembre:

Toujours très prisé, le grand repas traditionnel avait fait le plein (367 repas servis). Il est vrai que la garbure, la truite, et l'entrecôte à la plancha font la réputation de notre village depuis quelques années. Des cuisines au bar en passant par le service, tous les bénévoles ont donné le maximum pour faire plaisir au public. De surcroît, la banda Lous Pastouros, de Bahus-Soubiran, apportait l'animation musicale appropriée.

Samedi 6 septembre:

Sous les frondaisons de l'ancienne école, les joueurs de quilles ont délivré un concours sérieux et haut en couleur, sous l'égide du club de Saint-Sever. Les participantes et participants ont montré une belle adresse, maillet en main.

En fin d'après-midi, sur la piste ocre des arènes et sous une chaleur écrasante retrouvée, les hommes de la cuadrilla Ludovic Gontero affrontaient les coursières de la ganaderia Maynus. Dans les tribunes, les spécialistes ont apprécié. Responsable de la commission taurine à Sarraziet, Didier Dupouy soulignait "un spectacle de très très bonne facture." 

En soirée, le repas coursayre prenait le relais et permettait de mettre à l'honneur les saveurs du terroir avec un filet de chevreuil, préparé par notre chasseur sarraziétois, Mathieu Duviella. La fête se poursuivait jusqu'au coeur de la nuit estivale...

                                                                          un porte-drapeau motivé

Dimanche 7 septembre:

Après la messe en musique animée par l'Union Musicale Samadétoise en l'église Saint-Michel, madame le maire, Béatrice Makowiecki, et le président du comité, Laurent Chauveau, déposaient une gerbe au monument aux morts. Le défilé jusqu'à la salle polyvalente mettait à l'honneur notre jeune pompier, Doan Legendre, porte-drapeau des fêtes. Fier et concentré, il remplissait son rôle à la perfection.

Au terme de l'apéritif, le repas de clôture s'annonçait. Bon, allez! il faut parler de la note négative. Au grand dam du comité, le service traiteur ne fut pas à la hauteur, loin de là. Car entre les plats, les convives avaient tout le temps de débuter une petite sieste...Heureusement, les bénévoles venaient à la rescousse afin de palier au mieux les carences du service.

A l'issue de cette parenthèse "désenchantée", les fêtes s'achevaient, tout de même, dans la bonne humeur, autour d'une volée de crêpes et de boissons à bulles (à consommer avec modération).

Haut les coeurs ! Rendez-vous pour les fêtes locales 2026

J-L G.